Bien que nous n’échangeons pas d’argent, nous sommes tenus de trouver des financements pour respecter notre charte nationale des accorderies (avoir un local et un salarié).
Pour cela des demandes de financements sont faites auprès d’organismes et de particuliers.
Ces demandes sont essentiellement portées par le groupe finances et le Réseau National des accorderies.
La CAF est notre principal financeur.
La MACIF finance les accorderies depuis leur création (3000€ pour 2018). Le versement national est réparti entre toutes les accorderies. La part qui nous revient diminue au fur et à mesure du développement des accorderies.
Certaines mairies nous accordent des subventions : 1400€ (à ce jour) – 1300€ Mairie de Die, 50€ la Bâtie des fonds, 50€ Mairie de Poyols.
Nos élus du département nous aident sur leur enveloppe (500€) et nous ont permis d’obtenir 3 ordinateurs portables pour équiper nos groupes locaux.
Quelques dons de particuliers nous sont arrivés, mais leur montant est en réelle diminution (102€ pour 2017 contre 1395€ en 2016).
Notre projet, déposé à la fondation « la fabrique d’AVIVA », n’a pas été retenu car il n’a recueilli qu’un peu plus de 500 voix quand chaque personne disposait de 10 voix à partager entre les projets qu’elle soutenait. Cela fait peu d’accordeurs qui ont voté, toutes accorderies confondues.
Nous avons plus de sorties que des rentrées, ce qui posera vite un problème de survie. Nos réserves de trésorerie s’épuisent, et les membres de la commission chargés des demandes de subvention aussi.
Qui s’y colle ?
« Des sous, des sous, y’en faut pour ci, y’en faut pour ça.”
Nous nous réunissons le mercredi 16 mai de 10h à 12h au local à Die pour partager des infos et pistes sur la recherche de subvention. Toutes vos idées sont les bienvenues. Cette réunion est ouverte à toutes les bonnes volontés. »
Pascale Evieux & Maryse Maître